Deux règles s\’appliquent à tous les animaux vivant dans l\’un des endroits les plus spectaculaires : la première s\’appelle la loi d\’Allen, qui stipule que les animaux sont équipés de petits membres pour minimiser la perte de chaleur et rester en vie dans cet environnement froid. Il en va de même pour le nez, les oreilles et la queue. La deuxième loi est celle de Bergmann. Elle confirme que les animaux des régions tropicales sont équipés de la même manière. Il existe également une raison inverse. Les animaux vivant dans l\’Antarctique ont l\’habitude de stocker de la graisse sous leur peau, ce qui leur permet de maintenir la température corporelle nécessaire. La fourrure, généralement épaisse, crée également une couche d\’isolation nécessaire.
Le manchot royal est l\’un des habitants les plus communs de l\’Antarctique. Dans la nature, il vit jusqu\’à 20 ans et forme de nombreuses colonies. Il peut plonger à plus de 100 mètres de profondeur. Il habite l\’Antarctique, où il passe la majeure partie de son temps. Ils sont tous noirs, marqués par la peinture blanche sur l\’abdomen. Le phoque largha de l\’Antarctique fait partie des mammifères qui ont l\’étonnante capacité de se déplacer à 600 mètres de profondeur. Ils peuvent y rester jusqu\’à deux heures. Ils ont donc un volume sanguin élevé et un grand nombre de globules rouges. Les phoques ont de petites taches sur tout le corps, de couleur brun argenté. Il se nourrit de petits crustacés et de céphalopodes.
La plus grande baleine du monde est la baleine bleue qui, avec ses 25 mètres de long et ses 150 tonnes, est actuellement le plus grand animal de la planète. Cette baleine est rarement observée et figure sur la liste des espèces menacées. C\’est la même chose que le cormoran antarctique. Ses yeux bleus sont son signe distinctif le plus marquant. Elle mesure un peu moins d\’un mètre de long et pèse de 3 à 4 kg à l\’âge adulte. Ses plumes ne sont pas imperméables, mais lorsqu\’elles sont mouillées, elles forment de la graisse animale, ce qui facilite la plongée nécessaire. Le réchauffement de la planète, la fonte des glaciers et l\’abaissement consécutif de la nappe phréatique ont eu pour conséquence que de nombreux animaux n\’ont pas pu profiter du changement climatique et sont en déclin rapide
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